Blague qui circule dans les banques.
Belgique - Faits divers mer 15 oct, 17:12
Le tribunal d'application des peines de Mons a refusé, mercredi matin, la libération conditionnelle sollicitée par Michelle Martin, l'ex-épouse de Marc Dutroux, condamnée à 30 ans de réclusion par la cour d'Assises d'Arlon en juin 2004. C'est ce qu'a indiqué maître Bayet, l'avocat de Mme Martin. Une nouvelle requête pourra être introduite en septembre 2009. Le tribunal demande que cette année de prolongation de détention soit mise à profit dans le but d'un éclaircissement au niveau des rapports psychosociaux et des risques de récidives.
Un plan de concrétisation de réinsertion sociale doit être introduit. Un plan difficile à ajuster, toutes les demandes de jours de congé pénitentiaire lui étant d'office refusées, selon maître Bayet, qui justifie la décision du tribunal par le nombre de contradictions dans le dossier. S'agissant de prévention à caractère sexuel, un rapport sur un suivi psychologique doit être effectué. Un nouvel avis pourra être émis par la directrice de la prison où est incarcérée la détenue. L'audience qui s'est déroulée à huis clos n'a duré que quelques minutes. Les représentants de la partie civile n'étaient pas présents.
Georges-Henri Bauthier, avocat de Laetitia Delhez, victime de la détenue et de son ex-mari Marc Dutroux, déclare avoir envoyé un courrier et prévenu qu'il ne se déplacerait pas tant que Michelle Martin ne donnerait pas de version plausible des faits et ne reconnaisse sa part de responsabilité. Michelle Martin est admissible à la libération conditionnelle depuis le 14 août 2006. Une première demande de libération avait été introduite juin 2007 et réfutée. Le dossier avait alors été bloqué jusqu'en juin 2008.
http://www.observatoirecitoyen.be/article.php3?id_article=111 Ne mettez pas votre confiance dans l'argent, mais mettez votre argent en confiance. Olivier Wendell Holmes Alors, là, je me demande bien où. | ||
En tout cas, moi, à partir de maintenant, je ne me laisserai plus jamais baratiner par aucun soi-disant conseiller de ma banque qui ne conseille que dans son intérêt et parce qu'il subit la pression de sa direction pour vendre certains produits et je milite pour que les usagers se défendent et se battent contre les banquiers et pour le droit à avoir des représentants des usagers dans le conseil d'administration des banques.
Parce que Y EN A MARRE ! Les banques doivent être au service des usagers et pas le contraire.
NOUS AVONS BESOIN D'ELLE, ELLES ONT BESOIN DE NOUS .
Suicide à la BNP http://tf1.lci.fr/infos/economie/social/0,,3767112,00-salarie-bnp-suicide-dans-agence-.html
Le suicide remonte à la fin du mois de janvier, mais l'information n'a été divulguée que lundi. Un salarié de BNP Paribas de 45 ans s'est suicidé au début de l'année sur son lieu de travail, dans l'agence de Villefranche-de-Rouergue, dans l'Aveyron. Son corps a été retrouvé par ses collègues à l'ouverture de l'agence le lundi matin.
D'après la CGT, ce conseiller en patrimoine financier avait été convoqué quelques jours auparavant à Albi pour un entretien avec ses supérieurs. "Il lui aurait été indiqué qu'il n'avait pas atteint certains de ses objectifs, en particulier en matière de placement de produits financiers", selon le syndicat, qui avance que la direction "aurait évoqué sa mutation". La CGT rapporte également des extraits d'une lettre que le salarié a écrite avant de mourir. "J'ai aimé mon métier et je ne sais rien faire d'autre. Je ne vois pas d'avenir. J'ai toujours respecté mes clients en essayant de rester le plus correct avec eux. De ce côté-là au moins on ne peut rien me reprocher", écrit-il dans cette lettre.
L'homme a laissé plusieurs lettres
Pour sa part, la direction nationale de la banque a indiqué avoir "mobilisé tous les moyens nécessaires pour essayer de comprendre" et "collaborer aux procédures en cours". "Tout le monde a été choqué et attristé par la nouvelle", a déclaré un porte-parole de la banque. L'homme, marié et père de deux enfants, a laissé plusieurs lettres dont une à l'attention du patron local de la BNP, basé à Albi, selon la direction. "Il y disait qu'il lui avait toujours fait toute confiance et qu'il lui faisait confiance pour la suite et notamment pour s'occuper des siens", a-t-elle poursuivi.
L'épouse du salarié a déposé plainte contre X, a précisé la CGT, qui a elle-même prévu de se porter partie civile. Le syndicat estime que "toute la vérité doit être faite sur les causes du décès de notre collègue pour que de tels faits ne se reproduisent pas".