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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 10:01
Il parait qu'au moyen âge, période où des médeçins pouvaient encore se permettre de réaliser des expériences, heureusement impossibles aujourd'hui, un médeçin avait confié 20 bébés à 20 nourrices.
Dix d'entr'elles avaient la consigne de donner tous les soins necessaires à l'enfant, mais sans jamais montrer de tendresse, ni leur adresser une parole.
Les dix autres devaient s'en occuper et leur parler .

Résultat :
Au bout de 18 mois, tous les nourrissons auquels on ne parlait pas sont morts .
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Nous sommes nés pour communiquer, et même si ce n'est pas facile, ne renonçons jamais !
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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 09:53
J'aime bien cette expression : "On ne fait pas pousser les poireaux en tirant sur les feuilles, ni même éclore une rose en tirant sur les pétales. "

De même, on n'éduque pas un enfant en forçant les choses, en influençant, en manipulant, car le résultat sera désastreux.

Éduquer son enfant , c'es lui donner les moyens de devenir lui-même, de se trouver, de se réaliser.
Trouver la juste mesure entre la tendresse et la fermeté.
Lui donner toutes les possibilités de developper son intelligence et sa connaissance du monde.
Ne pas faire à sa place ce qu'il peut faire lui-même, l'aider à depasser ses peurs.
Accompagner ses premiers pas, mais en lui laissant le risque de la chute dans un environnement sécurisé.
A chaque échec, l'aider à réflechir et à surmonter, à rebondir.
Le valoriser pour ses qualités, sans l'enorgueillir.
Ne jamais le mépriser pour ses défaillances, lui faire comprendre qu'on ne peut pas réussir partout.
Sécuriser sans surprotéger , risquer sa liberté.
Le laisser prendre sa route un jour, même sur un chemin différent du nôtre.
Croire en lui, en sa capacité à gerer sa vie .
Lui laisser déployer ses ailes .
Savoir s'effacer !

Enfin, quoiqu'il arrive, toujours pardonner, ne jamais couper la relation, jamais. Tant que cela dépend de nous.

Si elle ne dépend plus de nous, faire savoir qu'on est là, qu'on sera toujours là .

On peut avoir un ex conjoint - On n'a jamais d' ex enfant !
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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 09:31

Paroles en français

J'aperçois des arbres verts

Des roses rouges également

Je les vois s'épanouir

Pour toi et moi

Et je me dis tout bas

Quel monde merveilleux

Je vois des cieux bleus

Et de blancs nuages

L'éclatant jour béni

La sombre nuit sacrée

Et je me dis tout bas

Quel monde merveilleux

Les couleurs de l'arc-en-ciel

Si jolies dans le ciel

Sont aussi sur les visages

Des passants

Je vois des amis se serrer la main

Se dire " comment vas-tu "

En réalité ils se disent " je t'aime "

J'entends des bébés pleurer

Je les vois grandir

Ils apprendront bien plus

Que je n'en saurai jamais

Et je me dis tout bas

Quel monde merveilleux

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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 12:21

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On ne peut pas marcher en regardant les étoiles quand on a une pierre dans son soulier. 

Proverbe chinois

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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 12:08
Je reviens sur la question de l'intégration, anciennement "assimilation".

Moi, quand j'intègre un oeuf à ma pâte à crèpes, il se fond dans la masse pour devenir une pâte informe.
Alors que l'oeuf aurait pu devenir un petit poussin, puis une poule ou un vilain petit canard.
C'est peut-être par peur des vilains petits canards qu'on veut "intégrer" à tout prix !

undefined J'veux pô étre intégré, j'veux pô !
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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 09:22

Dans une interview accordée à VSD, à paraitre mercredi 13 février 2008, Brice Hortefeux annonce la création d’un Prix de l’Intégration et du Codéveloppement pour valoriser les réussites sur le terrain.

Attribué chaque année au printemps, ce prix récompensera trois lauréats : celui ou celle qui aura réussi un parcours d’intégration associatif, entrepreneurial et dans la vie des quartiers ; celui ou celle qui aura aidé quelqu’un à s’intégrer et enfin, au titre du codéveloppement, celui ou celle qui aura réussi son retour dans son pays d’origine.

Le ministre a annoncé qu’au sein du jury, figureraient notamment l’ancien footballeur Basile Boli ; l’entrepreneur Malamine Koné, président de Airness ; l’entrepreneur Aziz Senni, auteur de l’ouvrage L’ascenseur social est en panne, j’ai pris l’escalier ; l’écrivain Gaston Kelman, auteur de Je suis noir et je n’aime pas le manioc et le chef d’entreprise Claude Bébéar, ancien président de la compagnie d’assurances Axa et instigateur de la Charte de la diversité.

Franchement, après la prime à la délation, voilà le prix de l'intégration. ça fait peur !
Et, puis ça veut dire quoi "être intégré". Etre dans le moule, dans les bonnes cases, réussir socialement, être "people" .....
En plus, dans les quelques personnes qui feront partie de ce jury, pour l'instant, je ne vois que des hommes !!!!!!!!!!!!!!!!
J'imagine qu'on est en train de chercher assidument quelques femmes pour obéïr à la loi de la parité ? Pourvu qu'on en trouve !
Une bonne femme qui s'occupe de ses gosses, qui les envoit à l'école et qui est fière de participer au conseil d'école dans la cité,après avoir appris le français à l'asso, ça fait pas assez bien, c'est pas dans le style de notre président, il lui faut de la réussite sociale, du fric , de la notoriété.
Y en a au moins un qui mange comme nous dans le jury, il n'aime pas le manioc, ça ,c'est de l'intégration, ya pas ! YES
Et, le prix du codéveloppement : regardez comme ils ont tort de venir chez nous, on a bien eu raison de les renvoyer là-bas. Pourvu qu'on en trouve un ou deux !
 
D'ailleurs, moi, je propose qu'on recherche des français de souche qui ne sont pas bien intégrés à notre société libérale, les clodos, les sans logis, les chômeurs, les sans sous..... (Gardons les prostituées, ça peut encore servir !)
 On pourrait les expulser vers un pays des desintégrés. Y a p't'être une petite place en Palestine ?
 On pourrait aussi leur mettre un collier magnétique qui les empêcherait de franchir une frontière invisible. Comme ça, on vivrait heureux ,ici, entre bons intégrés.
On pourrait aussi créer des kits d'intégration ou des sas de réintégration, en Lybie, par exemple.
What a beautiful word !
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20 février 2008 3 20 /02 /février /2008 12:41
Economisons notre mépris ,

car nombreux sont les necessiteux !

                                                                                          Le prince de Ligne
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20 février 2008 3 20 /02 /février /2008 09:23
Peut-on réparer l'histoire ?
C'est un livre qui vient de paraitre aux éditions O.Jacob et dont l'auteur est Antoine Garapon.
Je n'ai pas lu ce livre dont le sous titre est "colonisation-esclavage-shoah", mais, j'ai regardé l'émission le bateau livre sur France 5.
L'auteur expliquait qu'aujourd'hui, on parle davantage d'histoire en terme de créances qu'en terme d'héritage ou de mémoire pour l'avenir.
C'est comme si, on voulait remettre les compteurs à 0, apurer les dettes .
Les "notaires" de l'histoire se sont transformés en "procureurs".
On juge, on demande réparation, on indemnise.....
Rachid Taha, présent dans le débat, faisait remarquer que le lendemain de la projection du film "Indigènes" aux VIP et people, on avait annoncer que les combattants d'outremer allait être indemnisés. C'est comme une tâche sur le papier de l'histoire, cachons la vite avec de l'argent.
Et, c'est comme si, il fallait un film pour s'apercevoir du problème.
Réparons, réparons vite ! Qu'on en parle plus !
D'ailleurs, après cette annonce bien médiatisée, on ne sait si elle a été suivie d'effets.

Bien sûr qu'il faut indemniser les personnes qui ont perdu des années de leur vie au combat. 
Mais, c'est l'argent comme acquittement de la dette de repentance, et ce raccourci un peu trop rapide des annonces qui promettent de l'argent avant d'analyser, de faire mémoire de reconnaitre la valeur et la souffrance des personnes. 
L'argent étant plus un moyen d'effacer la dette que de se souvenir.

Qui que nous soyons, nous avons en commun un lourd passé collectif , il faut le regarder avec honnêteté et clairvoyance, ni passer son temps à se taper la poitrine, ni vouloir tout payer pour ne plus en parler.

Ce qui a été, a été et ce qui sera , sera ! 
Puissions-nous faire mieux !


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19 février 2008 2 19 /02 /février /2008 17:33
http://www.dailymotion.com/video/x48hn1_ne-joue-pas-aux-soldats-le-soir-de_webcam



Ne joue pas aux soldats, mon cher petit bonhomme

Les sabres et les fusils ne sont pas des joujoux

Plus tard, tu en auras quand tu seras un homme

Je n'veux pas voir ces choses entre tes doigts fluets.

 

Ces joujoux-là, vois-tu, rappellent trop la guerre

Les chagrins et les deuils que l'on voit ici bas

Ils ont trop fait pleurer le cœur des pauvres mères

Dont les enfants sont morts en jouant aux soldats.


Faut-il que des parents n'aient rien dans les méninges

Le soir de carnaval, pour déguiser encore

Leurs enfants en poilus comme des petits singes

Qui seraient habillés dans la veste d'un mort.


La capote militaire est le dernier emblème

Le linceul dans lequel vos fils dorment là-bas

Au moins respectez-les, le soir de carnaval

Et ne déguisez pas vos enfants en soldat.


Ces joujoux-là, vois-tu, rappellent trop la guerre

Les chagrins et les deuils que l'on voit ici bas

Ils ont trop fait pleurer le cœur des pauvres mères

Dont les enfants sont morts en jouant aux soldats.


Chanson des Sunlight

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19 février 2008 2 19 /02 /février /2008 15:49
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Ce n'est pas pour me vanter , 
mais il a fait très beau aujourd'hui .Banane34.gif


Banane34.gifBanane34.gifBanane34.gif



Petite phrase de mon amie Anne-Marie qui était cultivée et délirante. 
Elle est repartie en Corse et on s'est perdu de vue, mais je me souviens toujours de ses fous rires.
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